Denis Audet
Sherbrooke, 11 février 2018
À Sherbrooke, le 11 février 2018, à l’âge de 61 ans, est décédé M. Denis Audet, fils de feu Eusèbe Audet et feu Gisèle Sévigny.
La famille vous accueillera à la Résidence funéraire Steve L. Elkas Inc., 601 rue du Conseil, Sherbrooke, le samedi 17 février 2018 de 12 h à 15 h.
Afin de respecter les dernières volontés de M. Audet, il n’y aura pas de cérémonie.
Monsieur Audet laisse dans le deuil son fils Hubert (Amélia), sa conjointe et complice de tous les jours Lyn Michaud et ses enfants : Alexandre (Sarah) et Jordan.
Il laisse également dans le deuil : son frère Pierre (Pierrette) et leurs enfants, son frère Michel, sa belle-mère Rolande, ses beaux-frères Daniel et Jean (Sylvie) et leurs enfants ainsi que Gilles (Danielle), son grand ami de vie.
« Den, tu peux maintenant t’envoler vers ton lieu de prédilection…la mer. Rapproche-toi de tes oiseaux favoris tout en écoutant du bon vieux Deep . . . » –
Love You Big xxx
Une pensée pour l'être cher
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Bon voyage au Discret!
Bonjour, ce message arrive bien tard, car je viens de tomber sur cet avis de décès en faisant une recherche dans Internet sur celui qui était mon disquaire favori...Je n'ai aucune idée si ce message se rendra à bon port, mais je voulais prendre le temps de saluer Denis. Il a été important à une période de ma vie où il était propriétaire du Discret... Même si on avait 15 ou 20 ans d'écart d'âge, on avait les mêmes intérêts musicaux - j'étais, et je suis encore, passionné de Deep Purple, de rock progressif et de musique en général.
Toutes les semaines après le Cégep, puis l'université ou le travail, je m'arrêtais au Discret. Je ne faisais pas que repartir avec des disques, on jasait musique et de plein d'autres choses aussi, tandis qu'il fumait ses Camel! C'est à Denis que je dois la découverte de la scène de Canterbury, dont je ne connaissais que quelques noms. Il allait jusqu'à m'apporter ses propres vinyles (quel autre disquaire ferait ça?) pour que je puisse découvrir certains groupes qui n'avaient pas été réédités en CD. Et il réussissait toujours à me commander ce dont j'étais le plus mordu!
La musique est restée au coeur de ma vie - j'ai été journaliste musical à Québec pendant 15 ans; je suis aujourd'hui directeur de la programmation dans une salle de spectacle - et même si le temps a fait que j'ai perdu Denis de vue, je ne l'ai jamais oublié. Quand je me suis mis à lire un livre sur la scène de Canterbury, j'ai pensé à lui et j'ai voulu voir s'il était encore à Sherbrooke. C'est avec tristesse que j'ai appris son décès. Où que tu sois, salut Denis!
Nicolas Houle
1 octobre 2020